Les autotests ne seront pas commercialisés avant avril, et seulement en pharmacie

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Pboulanger Prés.
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Les autotests ne seront pas commercialisés avant avril, et seulement en pharmacie

Message par Pboulanger Prés. »

Bonjour à tous,

Lu sur https://www.nouvelobs.com/coronavirus-d ... macie.html
Les autotests ne seront pas commercialisés avant avril, et seulement en pharmacie 

Dans un premier temps annoncés en officines et dans les supermarchés à partir de la mi-mars, le gouvernement a fait machine arrière. Les arbitrages sur le remboursement sont en cours. 

Par M.T.
Publié le 26 mars 2021 à 16h35

Le directeur général de la Santé Jérôme Salomon avait prédit la commercialisation des autotests à la mi-mars, en officine et dans les supermarchés. Couac de calendrier : fin mars, les autotests nasaux, qui s’ajoutent aux tests RT-PCR, antigéniques et salivaires dans la détection du Covid-19, se font toujours attendre.
 




Ce vendredi 26 mars, le ministère de la Santé a finalement annoncé dans un point presse qu’il n’y avait « pas de calendrier précis » et qu’il faudrait attendre « peut-être mi ou fin avril » avant d’avoir accès aux autotests.

Il faudra donc prendre son mal en patience, d’autant plus que le ministère compte viser dans un premier temps des populations prioritaires avant une généralisation à tous : les jeunes (10-19 ans), les personnes précaires, ainsi que les habitants des Outre-mer, qui ont moins accès aux soins.

Des populations prioritaires

Et autre surprise, ceux-ci ne seront accessibles qu’en pharmacie contrairement aux dires de Jérôme Salomon, afin de garantir la bonne utilisation de ces tests et un bon accompagnement des usagers, insiste le ministère.

Car même s’ils sont très attendus car en théorie facile d’utilisation et surtout moins douloureux − il suffit de gratter 2 ou 3 centimètres derrière la cavité nasale et non pas tout au fond du nez, vers le pharynx − Olivier Véran prévenait tout de même dans « Le Parisien » le 20 mars « que ce n’est pas aussi simple qu’on l’imagine ! ».

Coût fixé à 5 euros

Le ministère de la Santé a toutefois évoqué leur coût, fixé à 5 euros comme chez nos voisins d’outre-Rhin, en ajoutant travailler sur « les types de remboursements » et ses « modalités ».
 
Lors de son rendu validant l’introduction de ce nouveau dispositif en France, la Haute autorité de Santé (HAS) s’est dite favorable à la prise en charge de ces autotests « dans le cadre d’actions de dépistages médicaux », avec par exemple une mise à disposition des autotests. Mais il n’appartient pas à la HAS de se prononcer sur une éventuelle prise en charge de leur usage à titre privé, selon Dominique Le Guludec.
 
Par ailleurs, si un autotest se révèle positif, un test PCR sera obligatoire par la suite pour « rentrer dans le système » et « remonter la chaîne de contamination », ajoute le ministère. Des autotests sont déjà disponibles en Allemagne, Autriche, Pays-Bas et en Angleterre.


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